dimanche 23 mars 2008
Un jour, un livre ? Non !
Coucou.La semaine prochaine, c'est la semaine du haïku sur le blog N !Le principe est simple : un jour, un haïku, et ce jusqu'à dimanche.
Rendez-vous demain !
mardi 18 mars 2008
S'ECOULER - 11

samedi 15 mars 2008
S'ECOULER - 10
L'avant dernier épisode de S'ECOULER.
{GRAVER POUR}
Je me suis réveillé le
lendemain matin avec un mal de crâne lancinant. Il était autour de cinq heures
du matin. J’ai attendu que le soleil se lève, assis comme le bouddha, en
brassant le sable froid qui coulait par saccades entre mes mains. J’étais seul
et j’avais froid. J’ai bien essayé de me réchauffer en me donnant des baffes,
mais j’ai vite arrêté car la tête me tournait et car cela me faisait mal. Les
manches de ma chemise étaient tâchées de sang.... [Lire la suite]
jeudi 13 mars 2008
S'ECOULER - 9
Sur le blog N est paru l'épidode 9 de S'ECOULER. Vous en doutez ? Mais si, regardez en dessous !
{FUIR CAR}
Après avoir poliment
quitter les géniteurs de mon premier amour, je suis discrètement allé faire le
tour de la maison, entourée d’un gazon bien vert ponctué par des jardinières rouges
et jaunes en pleine santé. Je n’ai pas trop pu découvrir l’intérieur de la
maison, à cause des rideaux ringards et usés qui contrastaient singulièrement
avec la classe générale du bâtiment.
Puis j’ai
ressenti l’envie... [Lire la suite]
lundi 10 mars 2008
S'ECOULER - 8
L'épisode 8 est juste au -dessous. Il n'attend plus que vos yeux pour le lire.
{BOIRE POUR}
La rue du Bas
Chemin est apparue, enfin. Le village de Rothéneuf est un endroit connu de tous
les Malouins, car il abrite un jardin gigantesque de statues tordues et
grimaçantes, taillées à même la pierre. Même si elles me faisaient très peur
quand j’étais petit, je demandais toujours à mon père de m’y emmener à vélo,
lors de nos promenades du dimanche matin. J’ai appris plus tard que ces
sculptures étaient l’œuvre... [Lire la suite]
dimanche 9 mars 2008
Sommeil

lundi 3 mars 2008
S'ECOULER - 7
Monsieur N dit "Que l'épidode 7 soit !". Et l'épisode 7 fut.
{CHANGER DE}
A la fin de
l’enterrement, je rejoignais donc la maison en empruntant l’avenue Moka quand
je suis passé devant une voiture occupée par un couple qui se disputait. J’ai
reconnu les deux belligérants car ils avaient assisté à l’enterrement eux aussi.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais au moment de dépasser le véhicule, sur un
coup de tête, j’ai accosté le conducteur, un homme d’une trentaine d’années qui
beuglait contre sa... [Lire la suite]